« ... il choisit de rester au plus près de la mélodie initiale... qui dicte les accords, impose d'elle-même sa logique rythmique, sa propre danse intérieure... Mirabassi ne craint pas de mettre en jeu toute sa sensibilité lyrique « à l'italienne », ni de développer un sens déjà très personnel de la dramaturgie mélodique et de la mise en scène rythmique. », Pascal Anquetil dans Jazzman, à l'occasion de la sortie deArchitectures.